Poème d'un peu de tout

Un souvenir de lui

Je me souviens de son visage
Je m'étais jurée de tourner
La page. Mais je ne peu enlevé
Cette belle image...

Ses yeux pareille a des opales
Étaient luciole dans la nuit...
Le vent me murmurait sans bruit
Une mélodie claire et pâle...

Une fine goutte de pluie,
Tombe sur mes geants,
C'est une goutte d'argent,
Elle glisse sans bruit pour rejoindre la nuit.

Dans un long silence j'enttend,
Le bruit du clapotie sur la rivière
Le buit doux tombé sur la bruyère
Je tend l'oreille et je les entends...

Ce sont des gouttes qui forme
Des rivière de diamant
Et elle tombe tout en chantant,
Une mélodie glissant sur les anémones.

Mes cheveux mouillés,
Je coure pour trouvé,
Un refuge sous un arbre.
Un arbre creux et dure comme du marbre...

J'ai perdue sa main.
Je l'ai perdue de vue,
Je ne dit rien
Je reste plentait dans la rue.

Plantait pied nus,
Je tombe a genoux
Parceque je l'ai perdue de vue,
Je n'ai pas sut lui dire,

Que pour moi "je" devenais nous,
Et que c'était elle mon saphir.
Je n'ai pas su la retenir
Je n'ai jamais su rien dire...

Mer

Mer où les flots bleus s’écrasent contre les rochers
tel une mélodie
Mer où les poissons
libres comme l’air
Mer où les monstres marins règnent en tes profondeurs
Mer déchaînée contre les bateaux solitaires
Mer aux dents acérées épargnent les naufragés
Mer en ta solitude je trouverai
un poème engagé .

Toi petit voyageur



Toi petit voyageur
Tu ne regardes jamais l'heure
Tu vois des paysages de mille couleurs
Toi petit voyageur
Tu viens d'ailleurs
Tu n'as pas peur des profondeurs
Toi petit voyageur
Pour toi la vie a de la valeur
Quand on a du coeur
Et qu'on apprivoise les fleurs.

Un rêve dans l’obscurité



Si un jour tu tombais dans l’obscurité, je te suivrai

Si je te trouverai la lumière nous apparaitrai

Si tu te perdais, je m’enfoncerai sans me relevé

Mais si tu ne me cherchais,

Je sombrerai tel une fleure fané

Dans ce rêve qui m’apparaît .

Rien a changé

On ne peut changer
Les gens comme
Le monde

On ne peut changer
La vie comme
La mort

On ne peut changer
Le coeur comme une fleur

un si soit-il.

Les questions réponses


Pourquoi le monde est-t-il
si rude

Pourquoi la mort est-t-elle
si affreuse

Les questions réponses nul ne le sait

Pourquoi une fleur est-t-elle
si belle

Pourquoi une épine pique-t-elle

Le saurai-je un jour?

Pourquoi on se bat jusqu’au dernier souffle durant toute une vie entière

C’est l’humanité qui se décroche de la terre

Ô toi, qui vit la haut,
Ô toi, qui nous regarde de haut,
Ô toi, aigle solitaire
Ô toi oiseau mystère,
Nous croyons te connaître
Mais toi tu te paie bien notre tête
Tu rigole bien lorsque vien
La famine et sa faim.
Toi tu rigole car toujours
Tu aura une proie de secour!

( je sais c'est trop nul mais j'avais rien d'autre!)

Moi je dis bravo à tous et surout à Evalmar dont je trouve les poemes superbes

Merci beaucoup, beaucoup, Ovhar!!!!

=)

De rien, sinon tu peux aller voir le mien dans la rubrique :Le roi de la montagne.

Avec joie! J'y vais!

=)

LE ROUGE LE NOIR,
L'AMOUR L'ESPOIR:

Je te demande juste de revenir,
Pour moi, pour nous, pour notre avenir,
Chaque jour est un peu plus dificile
Pour nous dont les rêves on échoués sur un île.
Tu avait dit que jamais
Tu ne me laisserait
Comme une âme en peine devant la noirceur
Horrible est effrayante de ton coeur.
Et a jamais tu t'esfasses de ma mémoire,
Mes espoires, je les enfermes dans une armoires
Là ou personne ne pourras les prendre
Car jamasi je ne veux les rendres.

ADIEU:

Mon coeur pleur et saigne
Par la lame est la haine
Toi qui est sous mes pieds
Comme un meurtirer.
Brillantes et brûlantes elle me déchirent
A tout jamais tu as dut partir
Loin de moi, loin de nos rêves
Car tu as été frappé par un glaive.
Dans un Océan de velour,
Qui symbolise à jamais notre amour,
De mes yeux jaillissent des perles d'ivoir
Et je te dit à jamais au revoir.

Brillantes et Brûlantes

Je me promené un soir,
Tout seul dans le noir.
Je pensais à celle qui
Faisait battre mon coeur la nuit.
Celle qui était partie,
Celle qui m'avait mentie.
C'est alors que,
Elle jaillirent de mes yeux.
Elles étaient brûlantes
Et brillantes.

Et maintenant un poème sur les chevaliers d'Emeraude:

Vous habitants de Turquoise,
Ombre et Zénor que l'on croise,
Rejoignez Emeraude ou les chevaliers
Contre l'empreure qui ose nous défier.

Vous habitants d'Argent,
De Rubis, vous simple gens,
Venaient rejoindre les chevaliers
Pour contrer les vils sorciers!

Vous, habiant du levant,
Peuple de Jade et de Diamant,
Combataient avec vos épées
Et protégeaient cette terre devasté.

Vous noble gens d'Opale
Vous de Perle et de Fal
Venaient avec les chevaliers
Et tuons les peuples damnés.

Vous, de Béryl et de Cristal,
Aidez-nous à vaincre ce mal,
Avec vos boucliers couvrez
Enkidiev et aidez nous à le protéger.

Avec l'aide des immortels et des dieux
Nos ennemis ouvrirons de grands yeux
Devant leur imbatable puissance
Et devant notre vaillance.

Nous allons mettre plein la vu
Au sorciers et au Dieu déchu.
Asbeth d'abord nous vaincrons
Puis Sélace nous découperons.

Nous déchiqueterons ensuite
Akuretari avec l'arme qu'il croyait détruite
L'arme ultime que l'un de nous détient,
La griffe de Danalieth l'ancien.

Alors vous, habitants d'Enkidiev,
Venaient à Emeraude comme dans vos rêves
Sonnez le glas, levez le bras,

j'aime beaucoup t'es poéme elvermer

Magnifique, le dernier, mais alors l'orthographe. Aïe.
Si tu veux à la rentrée on pourra s'arranger pour un correcteur.

J'aime bien, Brillantes et Brûlantes! Je trouve ça très beau et très réaliste! Bravos!!!! Et j'aime bien que dans Adieu, tu reprennes Brillantes et Brûlantes!

Continue comme ça! C'est magnifique!

Ovhar a écrit:

Mais alors l'orthographe. Aïe.
Si tu veux à la rentrée on pourra s'arranger pour un correcteur.

Oui, je sais... l'ortographe se n'ai pas mon fort, mais j'ai trouvé un ste correcteur, je vais éditer tout ça!

( encore un poème des chevaliers d'Emeraude, pour Santo. )

DURE, DURE, C'EST LA VIE

Dure, dure, me demand-t-on
Dure, dure je répond.
Mais qu'est-ce qui est dure?
Vivre, ou guérir des blessures?

Non, ce qui est dure, c'est de regarder
Chaque jour sa bien aimé
Dans les bras d'un autre qui la comble
Et qui caresse sa chevelure blonde.

Moi, le simple guérisseur,
Je n'ai pas de dure journées de labeurs.
Je n'ai pas de fortune, je n'ai que ma voix
Pour te dire que c'est toi
Qui me fait souffrir
Et qui ne le vois pas...
Tu ne veux pas me nuire
Mais tu le fait chaque fois que je te vois.

Ce n'est pas un poème que j'ai inventé, mais il fallait absolument que tous puisse le voir il est magnifique:



CANSO DE SANTO


Mon cœur se languit pour celle qui jamais ne m'aimera.
De là me viens cette peine et cette canso que voilà.
Va lui dire que je l'aime. Ca car je ne l'ose pas.
Va, et toi parles à ma belle. Elle écoutera ta voix.
Conte lui mille merveilles; se qu'elle ne sait pas de moi.
Que je soigne les plus faibles; que je ne fait pas que ça.
Va lui dire que je l'aime. Va car je ne l'ose pas.
Va, et toi parles à ma belle. Elle écoutera ta voix.
Que la musique m'appelle comme pour d'autres le combat.
Que ma harpe vibre pour elle qui, hélas ne l'entend pas.
Ô toi, le vent qu'elle adore, accroche toi à ses pas.
Où qu'elle aille, je t'en implore, fais-toi l'écho de ma voix.
Va murmurer à son oreille cet aveu comme il se doit.
Dis-lui que dès mon réveil c'est pour elle que mon cœur bat.
J'ai mal de ces nuit de veille ! J'ai mal qu'un autre que moi
lui ait ravi ses prunelles et la porte dans ses bras.
Vent ne me quitte pas. Reste encore auprès de moi.
Oublie tout mon chagrin. Laisse ma belle à sa joie.
Je crain que ma confidence couvre d'ombre ses ébats.
Je la laisse donc à ses danses avec l'homme de son choix.
Va lui dire que je l'aime. Va car je ne l'ose pas.
Va, et toi parles à ma belle. Elle écoutera ta voix.
Sans elle ma vie, mon destin, iront par d'autres chemins
et peut-être, un jour, enfin l'amour me tendra-t-il la main.
Je t'en prie, ne lui dis pas ce que je voudrais qu'elle sût ( de moi ).
S'il te plaît, jure le moi ! Non, attends! Ne jure pas...

ton dernier poème est super aussi.
tu as vu mon dernier haïku?

Ha non. J'irrais voir après manger.