Poèmes sur Eragon

Mutargh

La tristesse éclaire désormais tes yeux bleu nuit,
Parfois tu ressens le dégoût de la vie
Désormais tes lèvres ne font plus aucun sourire
Ne parlons donc pas du rire.
As-tu oubliée ce que c’est ?
A tu un souvenir heureux a te rappeler ?
Ta mère a peut être sauvé ton frère
Mais t’as laissé à la merci de ton père
Il est mort, et elle également
Te laissant seul aux griffes d’un Tyran
Tu as grandis dans la peur
Parfois tu aurais préféré que ça soit toi qui meurs
Tu vu les années passées
Mais rien n‘as changé...
Dès que le nom de ton père et prononcé
Dès que ton lien avec lui est annoncé,
Haine et dégoût sont déversé sur toi
Quand tu étais jeune tu ne comprenais pas.
Combien de fois as-tu pleuré ?
Te croyant seul, sans rien, rien du tout
Et tu t’es enfin échappé,
Retrouvant quelqu'un sans le savoir du tout
Face à ton frère tu t’es retrouvé.
Vivant dans la peur de devoir lui dire la vérité
Tu l’as tout de même suivit, aidé
Tu l’as délivré, sauvé, soigné.
Une profonde confiance vous lier !
Ta vie tu lui aurais confiée,
Car quand tes origines lui furent révélées
Il ne te rejeta pas
Loin de là !
T’es tu alors demandé si tu rêvais ?
Tu n’étais plus seul, non
Tu avais désormais quelqu’un
Eragon était son nom
Vous étiez liés comme les doigts de la main.
Puis,
Tout a été fini
Galbatorix t’as retrouvé, capturé, torturé.
Sur Saphira et Eragon, il t’a arrachées
De nombreuses informations.
Dont une, capitale, incroyable révélations :
Un petit frère….
Eragon était ton cadet !
Voilà qui expliquais la fuite de ta mère,
Elle voulait le mettre en sûreté…
Même si pour cela elle devait t’abandonner.
Devant deux œufs tu t’es retrouvé.
L’un deux, le rouge pour toi a éclot.
Thorn est arrivé vers toi.
Se frottant contre tes doigts,
Devenu ta seule raison de vivre dans ce monde ingrat,
Ensemble, Rien que lui et toi
Entre vous deux, pas besoin de mots,
Vous soutenant mutuellement
A travers les tortures du tyran
Enfin Tu as été prêt,
Et as été envoyé
Pour le roi des nains assassiné
Eragon et Saphira capturé
et a l’échec t’as été refusé
sous peine de dizaines de coups de fouet.
Mais tu n’as pas supporté le regard de ton frère,
Regard qui te rejeté, qui te condamner,
Tu aurais voulue hurler, pleurer, ta cause plaidée
Mais tu ne pouvais pas, pas du tout,
D’un serment tu étais entravé,
Et d’un lourd secret que tu aurais voulu lui révélé.
Mais pas comme ça,
Pas maintenant,
Ce n’était pas le bon moment,
Pas comme cela….
Tu l’as immobilisé
Mais tu ne pouvais le livrer,
Trop cher il t’était,
Tu l’as épargné,
Malgré ce qui t’attendait si tu échouais.
Ton secret tu lui as révélé,
Cette haine, pire ce dégoût,
Dans ses yeux
plongé dans les tiens, bleus
T’as blessé plus que tout.
Ton frère te hait,
Malgré la pitié que pour toi il ressent,
il rejete vos liens du sang, t'abandonnant.
Lui aussi, comme les autres
Te tuer il voudrait.
Dans ses yeux cela se voyait…
Même si la colère l’empêchait de raisonner.
Tu as taché malgré tout de l’ignoré.
Zar’Roc tu as récupéré…
Souvenir de ton père
Souvenir du temps passé
Comme lui tu es devenu Dragonnier,
Mais deviendra tu comme celui que ta mère a aimé ?
Reviendra tu vers le bien,
Ou restera tu avec le mal qui te tend la main ?