The Walking Dead

J’aime pas le zombie. Je trouve que c’est le moins terrifiant des monstres. Il est moche, il baragouine et il peut pas courir…La seule véritable peur qu’il dégage, c’est son côté contagieux mais bon dans ce cas-là, la grippe A devrait aussi avoir un film d’horreur à son nom. Bref, c’est avec tous ces petits aprioris que je me suis lancée dans The Walking Dead. Et je crois que c’est la première série que je vois qui a subi un tel revers avec le recul.

Le côté cool, c’était l’adaptation de comic qui avait bien marché pour plein de raisons. Le second côté cool, c’est qu’au visionnage du pilot, tu pouvais pas être autrement qu’emballé. Le concept détonne, c’est la première série sur les zombies et en même temps, c’est une approche différente de tout ce qu’on avait pu voir à l’écran pour l’instant (soyons honnêtes, à part du défonçage de crâne, y avait pas grand chose…). Ainsi, Rick Grimes, shériff dans le coma, se réveille dans un monde apocalyptique. Les 30 premières minutes le montrent aussi désemparé et terrorisé que nous devant cette menace qu’il ne parvient pas à identifier et cette solitude, absolument impensable quelques semaines auparavant. La tension est palpable, l’absence de musique renforce l’absence d’autres gens et très vite, ce n’est même plus l’angoisse du futur qui est là mais bien la peur du présent.

Pire que les zombies et de ne pas savoir comment c’est arrivé, c’est la solitude le mieux rendu. Autant notre cerveau tordu envisage parfaitement une attaque de zombie et tout ce qu’il faut faire pour riposter, autant on n’imagine pas une seule seconde que toute la population puisse être exterminée. Pourtant, c’est ce qui arrive ou presque. La première rencontre de Grimes va lui permettre de reprendre espoir, assez vite tempéré par Morgan qui lui apprend qu’il y a peu de survivants et surtout cette fameuse contagion. L’histoire de cet homme et de son fils nous achève quand on se rend compte qu’ils se contentent de rester à proximité de leur femme/mère, transformée en zombie. Tout comme Grimes, obligé d’abattre une petite fille. Ce dernier finit alors par rallier Atlanta où Morgan lui a dit qu’une rumeur colportait qu’un gros groupe de survivants de l’armée s’était établi là-bas. Et là, c’est le début de la fin pour The Walking Dead.

Rick y retrouvera sa famille, son meilleur ami et quelques autres survivants mais personne de véritablement compétant ou moralement irréprochable, en tout cas, pas les deux. Du coup, le voilà propulsé chef, ce qui ne plaît pas à tout le monde, comme son retour (et oui, son pote, le croyant mort, a commencé à se farcir sa femme, alors ça passe moyen). Quoi qu’il en soit, les épisodes suivants sont une succession de tableaux entre la vie au camp et les décisions de Grimes qui ont pour conséquence de les ramener sans cesse vers le centre d’Atlanta, plein de zombie ou de le conduire dans un centre scientifique.

Et c’est là que le bât blesse. La série est une quasi fidèle retranscription de l’oeuvre originale de Kirkman avec une attention plus particulière portée aux rapports et sentiments des personnages (humains évidemment) plutôt qu’aux tueries occasionnées par les zombies. Le fait est qu’il n’y a dès lors qu’un seul chemin à suivre et que c’est pas le plus passionnant. La tension ressentie lors du premier épisode n’est plus là et le fait de transposer quasi mot pour mot un scénario pensé pour la BD montre bien que les limites de l’écran sont atteintes très vite.

Heureusement, et avec l’approbation de Kirkman, les créateurs se sont autorisés deux trois écarts, ce qui permet non seulement de surprendre les lecteurs mais aussi de donner un peu de rythme à une ligne narrative tremblotante. Ainsi, les frères Dixon, la mort de la jeune soeur d’Amy, l’introduction d’un Merle coincé sur un toit envahi de zombies et la non-mort de Shane ajoute un peu de suspense dans une série qui en manque terriblement malgré son speech de départ. Alors oui, c’est la ligne de conduite du comic que de vouloir souligner les ambiguïtés humaines, les réactions de survie (plus ou moins douteuses) et excepté Lori, tous les personnages sont diablement intéressants. Mais une série TV se doit aussi de captiver son public et de trouver une dimension suffisamment intéressante pour que l’on ressente du plaisir au visionnage.

6,5/10 malgré un rendu esthétique plutôt impressionnant, un scénario de base original et quelques sursauts bien trouvés, The Walking Dead va devoir s’élever quelque peu pour nous éviter un trop plein de tortillages pathologiques.

Le petit mot de moi : Ah oui, je parlais de revers au début parce que lors de mon premier visionnage de la saison, j’étais totalement dans l’ambiance et Daryl Dixon et sa dangereuse imprévisibilité m’avait tapés dans l’œil. Après coup, je m’étais rendue compte un peu brutalement que le reste me semblait foutrement vide… Je considère néanmoins qu’il s’agissait d’une saison d’introduction (6 épisodes) destinée à nous présenter les fils qui lient les personnages entre eux et poser les enjeux.

Entre temps la S2 a commencé et reflète pour le moment la 1 : de sacrés moments d'angoisse pure (la scène de la route, les zombies sur le parking), Daryl toujours au top comme Dale et Andrea mais un trio de tête engoncé dans un triangle amoureux doublé d'une psychologie de surface... Je suivrais évidemment parce que l'ambiance et certains personnages valent le détour mais bon sang, autant on atteint des sommets (notamment quand tout le monde se tait dans un moment de tension) autant ça traîne en longueurs... En tout cas, je lance l'épisode 3 et je suis ravie qu'on voit enfin la fameuse ferme !

A la fin du tome 1, Shane se fait tuer par Carl (ouioui) donc ça y met fin rapidement...

A partir du moment le petit se fait tirer dessus et la mission pour lui ramener des médicaments, jusqu'à la toute fin de l'épisode 7, je me suis personnellement vraiment ennuyé...

Est-ce que c'est une femme ou un homme, la personne à la fin de l'épisode, qui a deux zombis de compagnies? J'avais l'impression d'une femme mais un ami est persuadé du contraire..

Pour Sophia c'est vrai que c'était long mais c'est justement le fait de la chercher dans chaque épisode et de la découvrir dans le 5 ou 6ème qui fait râler. Mais c'est aussi très bien manœuvré car on ne s'y attend pas vraiment à ce qu'elle soit dedans. Moi j'ai bien aimé, puis entre-temps il y a eu l'épisode où Daryl part seul (très bon épisode celui là !).

Sinon, la fin de la 2 est très bien, le dernier épisode en particulier. Celui qui m'a énervé c'était celui où ils veulent larguer le gamin de l'autre groupe, alors là c'était THE épisode pour rien (à part pour servir à faire plonger un peu plus Shane). Puis le côté humain de certains face aux décisions "primitives mais nécessaires" des autres, j'aime assez.

On ne s'attend pas à ce que Sophia soit dans la grange oO ? Avec un minimum de bon sens et justement le fait que ça traîne en longueur, y a que 3 solutions qui s'offraient à nous : 1) Elle est en vie, 2) Elle est morte, 3) Elle est zombifiée. Savoir après que y a un ramassis de zombie dans la grange, sachant que narrativement pour cette première partie, il fallait un cliff de fin assez fort, inutile de dire que quand Glenn découvre la grange, le reste coule de source. Et du coup, c'était très devinable parce qu'on a quand même tourné autour pendant 7 épisodes et donc que ça laisse beaucoup de temps au spectateur pour cogiter et qu'au bout d'un moment, y a pas 36 solutions et qu'il FAUT que l'intrigue cesse

Non, à mes yeux, ce n'était en rien indispensable contrairement au jeune capturé justement qui a un vrai rôle déclencheur !

Une critique :

Citation :

Ces deux saisons étaient si dissemblables que finalement, j’aurais très bien pu faire un seul article tant je me souviens de la déception engrangée par la première partie. Longue, poussive, ennuyeuse au possible, tous les défauts de la saison 1 était exacerbés sans la fraîcheur du début, bref, on était pas loin du calvaire. C’est donc à reculons (j’y croyais tellement plus que je suis surprise d’avoir eu le courage de poursuivre) que j’ai lancé cette deuxième partie en priant le miracle. Encore une fois, Le Roi des Lutins prouve sa grandeur et son amour des séries, le miracle est venu !

On avait laissé le groupe de survivants après leur massacre de zombie de la grange et bien sûr, la scène poignante de la mort de Sofia (qu’on attendait tous). On reprend immédiatement là, la Carol en pleurs, le Hershel défait, le Rick pas super frais, bref, le moral est pas au top, en particulier chez Daryl qui a du mal à digérer qu’il s’est bougé les fesses (souvent seul) pour un cadavre. On sent également Shane pas loin du gouffre et comme Dale, on s’en méfie de plus en plus. Le papy semble être le seul à avoir un peu de bon sens mais personne ne l’écoute (les gens sont vraiment cons, faudra pas s’étonner si ils meurent tous). Quoi qu’il en soit, les funérailles s’organisent pour la famille d’Hershel mais également la petite Sofia. Le souci maintenant, c’est qu’Hershel ne voulait pas des masses d’eux au départ mais alors après avoir transgressé ses règles et déglingué sa famille (certes zombifiée), c’est bien pire. Rick va donc tout faire pour le convaincre de les laisser rester mais le vieil homme n’écoute plus et replonge dans ses vieux démons : la bibine. Et là, enfin, tout bascule. Rick et Glenn le retrouvent dans la ville désertée et essayent de le raisonner, pour sa fille malade, lorsque deux individus de type normal mais un peu louches débarquent. Passé l’excitation de voir de nouvelles tronches, on se rend vite compte que les zombies sont sûrement plus fréquentables qu’eux. La tension monte, Rick tente de calmer le jeu mais c’est trop tard. Alors le shériff finit par les tuer, froidement et sans (trop) d’hésitation. Parce que oui, Hershel, Rick est prêt à tout pour ce groupe et rester dans ta ferme, c’est décidé. Cette longue intro pour vous dire que cette deuxième partie a été emballante notamment grâce à l’évolution du personnage de Rick.

De fil en aiguille (je vous passe les détails), il devient évident que les zombies ne sont pas le seul problème comme le révèle un jeune homme que le groupe a fait prisonnier. Celui-là va vite devenir l’objet de scission du groupe car, si Rick n’a pas hésité à appuyer sur la détente pour 2 malfrats, c’est plus compliqué pour un jeunot, en particulier quand ton propre môme de 8 ans t’incite à le buter sans sommation (là, ça montre la faille dans l’éducation pleine de valeur Grimes). Bref, il y a les partisans pour le buter et se protéger du reste du monde (Shane), les hésitants (Rick), et les définitivement contre parce que ça ne se fait pas nomdidiou (Dale). C’est l’occasion pour ce dernier de montrer combien Shane est à côté de ces pompes depuis quelques temps mais le reste du groupe semble peu réceptif tant l’homme est assuré et rassurant dans sa radicalisation à vouloir les protéger. Pourtant, Rick aura un aperçu de la noirceur de son ami et désormais, c’est une tension perpétuelle entre eux qui n’aura de cesse d’augmenter.

La perception du groupe sur Rick va quelque peu évoluer. Malmené par Shane, il doit s’imposer surtout quand Hershel et sa famille se rallient à ses décisions et que Dale (finalement le tampon du groupe) disparaît tragiquement. Plus dur et poussé dans ses retranchements, le shériff va finalement commettre l’inévitable pour se protéger, le truc qu’on attendait tous mais qui a eu le bon goût de ne pas traîner : tuer Shane. Carl aura son rôle à jouer (ce gamin est insupportable) et on a enfin la réponse au secret chuchoté par le scientifique en saison 1. Tout le monde est infecté, ce qui fait que tous les morts peuvent devenir des rôdeurs. La mort de Shane et le secret éventé, Rick doit faire face à la défiance totale du groupe qui commence à voir, devant son comportement flou (il refuse d’aller chercher Andréa), un réel danger, souligné par son ultime phrase : “Ce n’est plus une démocratie”. C’est définitif, Rick se transforme sous nos yeux en leader fort mais aussi instable que Shane et nul doute que Daryl, le second homme fort, aura sans doute son rôle à jouer. Une joie indicible se faufile dans nos veines devant la fuite finale, une mise en scène magistrale de la destruction de la ferme, cernée par les zombies surgissant des bois et dévorée par les flammes. C’est la débandade et la fin d’une ère qui a si mal démarré. Reste qu’en 15 mn, on voit également ce qui nous attend pour la prochaine saison et bonjour l’excitation : Michonne (claaaaasse) et la prison (tennnnsiiiionnnn) et je peux vous dire que vu cette partie de saison, ô combien plus réjouissante que la première saison et la première partie réunie, me donne très envie (j’espère qu’il vont pas faire de la prison, un truc insupportable comme l’est devenue la ferme…)

Bon tout n’est pas parfait, surtout qu’une fois la ferme brûlée, on entrevoit les travers déjà notés auparavant (manque de rythme et trop de drama) et le peu de développement de certains personnages (Jimmy, Beth, Patricia) qui les auraient pourtant mérité (Comment se sentir impliqué par leur mort ?). Mais bonne surprise quand à la relation amoureuse Maggie/Glenn et la relation tout court Daryl/Carol (déjà esquissé dans la première partie) qui nous apparaîssent tellement moins lourdes que le trio principal.

8,5/10 pour une seconde partie pleine de tension, d’évolution, de massacre et de rythme qui m’a réconciliée avec la série. Pas forcément que la partie en soi mérite cette note mais comparée à la précédente, je suis bien plus enthousiaste !

C'est vrai que j'ai eu du mal dans les premiers épisodes à accrocher complètement bien que j'aimais bien le concept et le scénario (bien qu'il restait simple mais accrochant). Peu d'action mais les évènements se suivaient bien puis on a commencé à avoir un peu d'action dans l'épisode 4 (le massacre dans leur camp). Puis la suite de leur voyage vers le CDC vraiment inutile pour eux à la fin mais qui va vraiment être très important par la suite.
Pour la saison 2, j'ai vraiment adoré le début et je pensais qu'elle allait être plein de rebondissements (pour ça, c'est assez bon surtout vers la fin) et d'action (pour ça, un peu moins par rapport aux deux-trois premiers épisodes). En effet, on commence avec le coup de stress sur l'autoroute puis la fuite de Sophia, puis Carl se prenant une balle suivi par Shane et Otis qui vont au lycée et ce dernier tué par l'autre voulant sauver sa peau... Tout s'enchaîne encore assez vite, et j'ai vite accroché surtout en voyant la nouvelle nature de Shane. Mais par la suite... ça devient d'une lourdeur les quatre épisodes de recherche de la petite, ça en devient abusé au bout d'un moment, puis à côté les escapades en ville sans aucune action, puis la relation avec la famille de Hershel pas trop tendu : en gros, aucune action et assez monotone bien que j'ai réussi quand même à apprécier (surtout grâce à Daryl qui est un personnage qui a un caractère que j'adore, surtout quand il devient "sympa"). Mais pour moi, je trouve qu'ils auraient pu diviser par deux le temps de recherche, tout le monde aurait préféré. Après la découverte de Sophia dans la grange - assez simple l'idée je trouve, j'étais sûr qu'elle était là dès que l'on voit Glenn découvrir le secret de la grande - les choses accélèrent et je trouve que les épisodes sont plus centrés sur Shane pour bien justifier pourquoi il doit mourir. ça commence à bouger, Hershel n'est plus du tout d'accord pour qu'ils restent avec eux, Shane veut absolument récupérer Lori par tous les moyens, on entend parler du groupe des 30 qui foutent un peu la merde mais qui assez oublié vers la fin de la saison, etc... en bref, on ne manque pas trop d'action, fini la partie assez chiante. J'ai assez bien aimé le combat final, les révélations sur le virus puis la mort de Shane. Bref, pour moi c'est une bonne saison et elle aurait pu être excellente si elle n'avait que 9 ou 10 épisodes au lieu de 13.
Par contre j'aimerai bien savoir qui c'est le ninja bizarre avec son sabre et ses deux zombies à la laisse, ça faisait un peu ridicule quand même. J'ai pensé qu'il faisait parti du groupe des 30 gars mais j'suis plus très sûr car ce sont des violeurs d'après ce qui a été dit sur eux et le ninja c'est pas l'impression qu'il m'a donné dans les six secondes où il est apparu. :/

D'après l'acteur jouant Shane (je ne connais pas son nom, je l'ai oublié), son personnage va tout de même revenir même s'il s'est transformé en zombi et qu'il s'est fait achevé une deuxième fois avec une balle dans la tête. Il a laissé échappé que le virus allait muter et que même si on explosait la partie du cerveau qui les transforme en rôdeurs, ils continueraient à vivre. Une merde de plus à gérer en plus du fait que tout le monde avait le virus. :/
J'ai hâte de voir ce que ça va donner car on risque de revoir, pas seulement Shane mais plein d'anciens personnages peut-être : Sophia, la soeur de Andrea, le père de Sophia, Shane bien sûr, toute la famille de Hershel...
Bien sûr, ils reviendront en zombie mais je pense pas que ce sera juste pour s'amuser à les reflinguer, j'vois bien un remède arriver pour cette nouvelle souche du virus.
L'acteur jouant Merle Dixon, le frère de Daryl, va réapparaître aussi. Je sens que les retrouvailles pourraient être assez tendues, et je pense même que Daryl pourrait arrêter son frère pour qu'il évite de faire du mal au groupe.

Comme dit, 9-10 épisodes auraient amplement suffit. Sérieusement, on se doutait que Sophia n'allait pas survivre une dizaine de jours dans une forêt pleine de zombies affamés. La première partie de la saison est longue, assez ennuyeuse. On frôle presque le ridicule quand la série s'attarde sur la vie à la ferme des personnages! La plupart d'entre eux deviennent d'ailleurs d'une lourdeur incroyable comme si ils parodiaient des stéréotype de caractères. On voit bien qu'il y a une recherche de la tension mais ça ne colle ni à l'ambiance ni au scénario. Ceci étant dit, heureusement qu'il y a Daryl pour faire des colliers d'oreilles, sinon je n'aurais pas tenté de regarder la seconde partie. (Et oui, il faut de l'action aussi!)

Et en parlant de seconde partie, celle-ci est bien meilleure. Et cela grâce à Shane qui déteint sur Rick. Parce que bon, on s'attendait à ce que Shane prenne le rôle du méchant. Mais alors quel soulagement de voir que Rick ne reste pas le parfait héros de film qui sauve tout le monde et qui trouve toujours une solution. Ça ne peut présager que du bon pour la suite!

Donc, pour résumer, tout n'est pas parfait mais ça se laisse se regarder. C'est globalement réussi malgré l'ennuie d'une première partie bien trop longue!

Par contre, comme l'a fait remarqué Sylar, c'est qui le ninja et ses deux potes zombies à la fin? Pour une série qui tendait vers un réalisme post-apocalyptique, ça surprend...

Disons qu'ils n'ont plus de bouches donc basiquement ils sont assez inoffensifs, c'est plus de l'exhibition !