Vos avis sur le tome 3, Brisingr [spoilers possibles !]

Vous avez lu le tome 3 (en anglais ou en français) ?

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Bon alors, mes imprétions puisque j'ai acheté le livre et que je l'ai commencé.
Alors déjà la couverture, le dragon etc.... sont magnifiques, j'ai été impressioné, je trouve que l'édition qui sort le livre en anglais, est largement mieux que la collection française, pour le placement du titre, de l'image, le cadre etc...

Sinon, ben je suis page 100 pour l'instant, c'est très bien, je suis en 3ème, et je trouve que le texte, les descriptions sont un peu dure à comprendre, mais ça va encore, mais sinon les dialogues sont faciles.

Et pour finir, j'ai sans faire exprès découvert quelque chose, vers la fin du livre, donc je vous conseille de ne pas le lire, si vous ne voulez rien savoir sur qui va mourir, ce qui va se passer etc... Le voilà :

Spoiler:

Je ne l'ai malheureusement pas encore lut, ni même eu entre les mains, mais j'ai put lire des extraits.
Je cromprend assez bien en anglais, mais moins les subtilités qui ne m'échapent pas en français.
C'est du vrai anglais, donc il y a parfois du vocabulaire ou des expressions difficiles à comprendre.
Pour ce qui est de l'histoire, on continue en plein sur la lancée, je trouve ça passionnant.

Spoiler:

De ce que j'ai compris de mon anglais, je le trouve dans la lancée du 2 donc ennuyeux (et vas-y que j'te balance de la philo de bas étage à tout va). Maintenant, j'attends la sortie en français parce que y a pas mal de truc qui m'ont sans doute échappés alors je réserve mon jugement final.

Les critiques commencent à tomber. Une première, ni bonne ni mauvaise :

Citation :: I've got a secret. When I was 13, I was fixated on the role-playing game Dungeons & Dragons. I usually sat in the Dungeon Master's chair, unleashing rich characters and exciting situations that seemed, to my friends at least, to have been created out of thin air. Truth is, I just read more fantasy than they did -- often all through the night -- and could steal freely from books they hadn't read.

So I feel a certain kinship with Christopher Paolini, whose first novel, "Eragon," about a 15-year-old boy who discovers a dragon egg, may have had a similar genesis. While young readers devoured the novel, some adult readers cried foul. The teenage author, they argued, had stolen from fantasy greats like J.R.R. Tolkien and Anne McCaffrey, and even borrowed from "Star Wars." Worse, much of the book was awkwardly overwritten.

Despite the complaints, Paolini's books -- "Eldest" followed "Eragon" in 2005 -- have sold something like 15 million copies. That number has increased by more than half a million just this week with the release of "Brisingr," the third novel of a promised four in his Inheritance cycle.

"Brisingr" opens with Eragon -- accompanied by his dragon, Saphira, and his cousin Roran -- hunting the foul Ra'zac and giant Lethrblaka monsters in their underground lair. Partially a mission to rescue Katrina, Roran's betrothed, and partially a quest to revenge the murder of Eragon's uncle, the subterranean death match is rendered in clipped, muscular language: "A huge, twisted shape hurtled out of the lancet passageway. Eyes black, bulging, rimless. A beak seven feet long. Batlike wings. The torso naked, hairless, rippling with muscle. Claws like iron spikes." If that's not enough, the thing stinks, too. And it is not alone.
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But this opening brawl is just a bit of unfinished business from the previous book, a way to sink the claws back into readers. The Ra'zac and Lethrblaka are agents of the true enemy, King Galbatorix, the rogue Dragon Rider turned sorcerer tyrant. It's the ongoing war against him -- almost always fought against his surrogates -- that occupies Eragon and Saphira.

If the focus had stayed there, Paolini could have finished his tale already. Instead, he throws in a daunting variety of players, races and locales. Nasuada, leader of the Varden, struggles to hold together her multiracial/multi-species army of rebels by any means necessary, including an alliance with her age-old enemies, the Urgals. Roran, reunited with Katrina, tries to earn his stripes among the Varden through battle. Murtagh, Eragon's half brother, and his dragon, Thorn, have become enslaved agents of Galbatorix and grow stronger -- and more conflicted -- by the day. The dwarf, Orik, navigates the contentious world of his people's politics as he seeks the throne. Queen Islanzadí leads her elves to war for the first time in a hundred years. The elf Oromis and his ancient dragon, Glaedr, decide it is time to emerge from hiding. You can't say that Paolini doesn't put a lot on the table.

Perhaps too much. Paolini may have streamlined his prose line by line and cut the Elvish poetry out, but this is by no means a sleek story, dragging as it does for long sections in the middle. And yet in some of the quiet moments on the sidelines, Paolini demonstrates his growing maturity.

For example, after listening to the elf princess Arya describe her lover's death, "Eragon placed his right hand over her left. . . . Arya permitted the contact between them to endure for almost a minute. . . . Then, with a slight lift of her arm, Arya let him know the moment had passed, and without complaint he withdrew his hand." That's much more understated than similar exchanges in earlier books. For young readers hungry for the action, though, this may be nothing short of boring.

Fortunately, toward the end, Paolini reconnects with the core elements that animate Eragon's tale: mystery and danger. Just what is the Eldunarí, the source of Galbatorix's immense power? Can Eragon's familial heritage get any more convoluted? Will Eragon ever get a new sword to replace Zar'roc? What will the Siege of Feinster look like: the underground Battle of Farthen Dûr from "Eragon" or the smoke-choked Battle of Burning Plains from "Eldest"? Will any of the major characters die? If these questions don't get your blood pumping . . . well, this may not be the series for you.

And what about Paolini's thefts from the fantasy masters? He actually handles them admirably well in this third book. He claims squatter's rights to grumpy dwarves and aloof elves and orphaned farm boys who will be kings. Perhaps the passing years have made Paolini feel complete ownership of these characters, just as the passing pages slowly dull a reader's skepticism. But newer characters such as the horribly prophetic Elva and the flirtatious dwarf woman Iorunn are very much his own creations. Older characters Nasuada of the Varden and even Saphira herself develop inner lives that add depth.

As an adult, I read "Brisingr" with a mixture of admiration for Paolini's accomplishments and an awareness of the book's flaws, which prevented me from being fully won over. But that's hardly a slight. Had I read this novel when I was 13, it would have kept me up straight through the night. For that matter, I might have even stolen a few bits from it for D&D. And that's a compliment.

par ici

Si un traducteur souhaite se lancer, ce sera avec plaisir Wink

Personnellement j'en suis dans les pages 270 et des poussière, et je trouve que le style de l'auteur c'est effectivement amélioré, je trouve qu'il y a un peu plus de recherche et que les personnages sont, petit à petit, creusés davantage. Ce n'est pas du grand art, mais j'aime découvrir ce qui se passe sur la terre d'Alagaësia.

Un spoiler (le plus "important" pour l'instant ...alors que j'en suis quasi à la page 300... No comment) si vous voulez savoir qui porte un bébé, c'est juste au dessous ^^

Spoiler:

PS: Désolé Saha, mais pour la traduc, j'ai ni l'envi ni le temps en ce moment ^^' (je suppose que tu ne m'en tiendra pas rigueur lol!)

C'est un commentaire interressant. Je suis tout à fait d'accord avec ce qu'il dit, et j'approuve certaines
choses dont je ne m'étais pas encore rendue compte, ou auxquelles je n'avais pas encore fait attention.
Même si on attend qu'Arya se craque pour Eragon, leur relation actuelle est interressante et C.P. a l'air
de bien faire progresser leur histoire, qu'elle qu'en soit la fin.

Il y a aussi des informations interressantes que l'on découvre en lisant Brisingr et que j'ignorais, ça aide
à se faire une idée du déroulement général de l'histoire, même si je suis pressée d'en connaître les détails.

Merci beaucoup pour cette critique Sahagiel! Very Happy

Je n'ai pas fini le livre, mais j'en suis à la page 530. Enfin, je veux dire, 530 pages avant la fin.
Maintenant, je comprend bien pourquoi CP a voulu faire quatre livres au lieu de trois. Comme il l'a dit, ce livre en plus lui permet de développer les personnalités et les relations, et en effet, ça développe. Rien que le premier chapitre raconte en détail la réunion d'une secte, sans grand intérêt. Nous avons le droit à de longues pages de discussions qui n'en finissent plus, de nombreuses réflexions sur le fait de donner la mort. Un peu, oui, beaucoup, non merci, ça ira, là, j'overdose [nouveau verbe]. Je commence même à me demander si ce n'est pas tout ce qu'il y a dans le livre, vu le point où j'en suis après 200.
Bien sûr, j'ai vérifié. En feuilletant les pages, j'ai pu voir que CP nous livrait des révélations surprenantes, quoique, pas vraiment, puisqu'il semblerait que les lecteurs les connaissent déjà. Serait-ce une télépathie qui ce serait installée entre l'auteur et les lecteurs, reliés par un amour commun d'Eragon? Ou plutôt un écrivain trop prévisible?
Sachant que nous connaissons déjà ce qu'il se passe d'important dans le livre et qu'il est plein de longueur, pourquoi l'acheter?
Bah, il n'a pas que des défauts. Il reste divertissant.

Hum, juste, les extraits ne sont pas ce qu'il y a de mieux pour juger du bouquin. En effet, l'extrait avec Nasuada se trouve au bout d'une centaine de pages...

Eléa, puisque tu as l'air d'avoir lu et apprécié la critique posté par Saha, est-ce que tu pourrais nous la traduire ou au moins nous faire part des grandes lignes ? S'il te plaît !

Bon ben page 170 ou environ, toujours aussi content, quoique je crois que certains passages ont du m'échapper car

Spoiler:

sinon pour les autres révélations :

Spoiler:

Je ne sais pas à quelle page je suis, mais en tous cas je lis! (depuis 2 jours)

Pour le moment, je suis assez satisfaite....

Spoiler:

Pour te répondre Arya d'Ellesmera:

Spoiler:

Pour finir, je dirais que les relations entre Eragon et Arya évoluent de façon surprenante un peu après la page 300, notamment au cours d'un combat. Je ne vous en dit pas plus....

Voilà Arya! Blod t'as tout dit, cela se passe avant les pages 160, donc vers les pages 150 je pense.
Sinon Blod, avec ce que tu viens de dire, tu me donnes encore plus envie de lire plus souvent, normalement j'aurais dépassé les pages 200 ce soir, voilà. Saphira-evil

Avec plaisir Aurora, mais je ne garentis pas de la qualité, et je dois prendre le temps de la faire...
Donc je pourrais le poster pour demain ou après demain, faut que je trouve un trou entre mes devoirs! ^^

Là je vais arrètter de lire les spoilers, sinon je n'aurai plus de suspence quand je le lirai!

Spoiler:

Merci Eléa !
Et merci à tous les autres qui m'abreuvent de spoiler, j'ai hâte de le lire en français !

Je suis en train de traduire, tu aura peut être la traduction aujourd'hui!
(Mais moi je n'aurai peut pêtre pas mon devoir de français pour demain...lol)

Attention à ne pas flooder ^^

(Pardon)

Donc, voila la traduction! Il m'est arrivé de bloquer sur un mot ou une expression,
je me suis alors aidée d'un distionnaire ou d'internet, mais je n'ai pas bien réussit à
éclairer certains moreaux que j'ai donc traduit de mon mieux. Si quelque chose vous
échappe, je peux essayer de vous aider, mais je ne garantis rien. Profitez:

J'ai un secret. Quand j'avais 13 ans, j'ai été fixé sur le jeu de rôle Donjons & Dragons. J'étais d'habitude assis dans la chaise
du Maître du Donjon, lâchant des personnages riches et des situations excitantes qui semblaient, à mes amis au moins, sorties de
mon imagination. La vérité est, j'avais juste lu plus de Fantasy qu’eux - souvent pendant toute la nuit - et pouvais voler librement
de livres qu'ils n'avaient pas lus.

Donc je sens une certaine parenté avec Christophe Paolini, dont le premier roman, "Eragon", sur un garçon de 15 ans qui découvre
un oeuf de dragon, peut avoir eu une genèse semblable. Tandis que de jeunes lecteurs ont dévoré le roman, quelques lecteurs
adultes ont crié au scandale. L'auteur adolescent, ont ils avancé, avait volé les idées des grands écrivains de Fantasy comme
J.R.R. Tolkien et Anne McCaffrey et même emprunté à « Star Wars ». Pire, la majorité du livre avait été maladroitement recopié.

Malgré les plaintes, les livres de Paolini – « Eldest » qui suivit « Eragon » en 2005 – firent des ventes d’environs 15 millions
de copies. Ce nombre augmenta de plus d’un demi million juste cette semaine avec la sortie de « Brisingr », le troisième tome, et la
promesse d’un quatrième roman dans ce Cycle de l’Héritage.

“Brisingr” ouvre avec Eragon, accompagné de son dragon, Saphira et son cousin Roran, chassant les Ra’zac et les géants Lethblaka,
monstres cachés dans leur repère souterrain. En partie une mission pour sauver Katrina, la fiancée de Roran, et en partie une quête
pour venger la mort de l’oncle d’Eragon, ce combat à mort souterrain est rapporté dans un langage « coupé et musclé » (c’est la
traduction littérale, je n’ai pas réussit comprendre mieux que ça.) : « Une forme énorme, tordue sortit du passage sombre.
Des yeux noirs, protubérants, à monture invisible (je crois ce sont de gros yeux noirs et vides, sans pupille, sans iris, seulement
noirs). Un bec de sept pieds de long. Des ailes semblables à celles d’une chauve-souris. Le torse nu, chauve, ondulant de muscles.
Des griffes comme pointes de fer. » Si ce n’est pas assez, cette chose pue aussi. Et il n’est pas seul.

Mais ce combat d’ouverture n’est qu’un morceau de la besogne non finie du livre précédent, une façon d’agripper les lecteurs
dès le début. Les Ra’zac et les Lethblaka sont des agents de leur pire enemi: le roi Galbatorix, le dragonnier félon devenu magicien
tyran. C’est cette continuelle guerre contre lui – presque toujours contre ses serviteurs – qui occupe Eragon et Saphira.

Si l’histoire était restée fixée la dessus, Paolini aurait déjà fini son histoire. Au lieu de ça, il plonge dans une effrayante variété de
personnages, de races et d’endroits. Nasuada, chef des Vardens, lutte pour garder unie son armée de rebelles formée de différentes
races et de différentes espèces par tous les moyens, y compris l’alliance avec ses vieux ennemis, les Urgals. Roran, réuni avec Katrina
essaye de faire son chemin parmi les Varden grace les batailles. Murtagh, le demi-frère d’Eragon, et son dragon, Thorn, sont devenus
les agents enchaînés de Galbatorix et deviennent plus forts – et plus tourmenté – jour après jour. Le nain, Orik, guide le monde
querelleur de la politique de son peuple pendant qu’il convoite le trone. La reine Islanzadi conduit ses elfes à la guerre pour la première
fois depuis cents ans. L’elfe, Oromis et son ancien dragon, Glaedr, décide qu’il est temps d’émerger de leur cachette. Vus ne pouvez
pas dire que Paolini n’a pas mis beaucoup sur la table.

Peut être trop. Paolini a peut être simplifié (je ne suis pas sûre que c’est ça) sa prose ligne après ligne et coupé la poésie elfique,
mais ce n’est absolument une histoire creuse (pas sûre que c’est le bon mot), traînant pendant de longs passages au milieu comme
ça arrive. (Je n’arrive pas à comprendre le sens de la phrase, ce n’est pas clair.) Et déjà, lors des moments de calme, on sent la maturité
grandissante de Paolini.

Par exemple, après avoir écouté la princesse elfe Arya raconter la mort de son amant, “Eragon plaça sa main droite sur sa gauche…
Arya permit le contact entre eux durer pendant presque une minute… Puis, avec un léger mouvement du bras, elle lui fit savoir que ce
moment était fini, et sans protester, il enleva sa main.” Ceci est bien plus “subtil” (pas sure) que les échanges similaires des livres précédants.

Heureusement, vers la fin, Paolini se reconnecte avec les éléments principaux qui animent l’histoire d’Eragon : mystères et dangers.
Juste ce qu’est Eldunari, la source de l’immense pouvoir de Galbatorix ? Est-ce que l’héritage familial d’Eragon peut être encore plus
compliqué ? Eragon pourra-t-il jamais avoir une nouvelle épée pour remplacer Zar’roc ? A quoi le Siège de Feinster ressemblera-t-il :
la batallie souterraine de Farthen Dûr ou l’étouffante bataille des Plaines Brûlantes ? Est-ce que l’un des personnages principaux
mourra ? Si toutes ces questions ne vous fait pas palpiter le sang … Et bien, cette série ne devrait pas être faite pour vous.

Et à propos des « vols » de Paolini aux maîtres de la Fantasy? Il les a pourtant maniés admirablement dans ce troisième tome. Il plaide
le droit des squatteurs aux nains grognons, aux elfes distants et aux garçons de fermes orphelins qui deviennent rois. Sans
doute que les années passées ont fait Paolini se sentir le complet propriétaire de ses personnages, tout comme les pages passées ont
lentement apaisé le scepticisme des lecteurs. Mais les personnages plus récents comme Elva, l’horrible voyante et la naine
flirteuse Iorunn sont entièrement de ses créations. Les anciens personnages Nasuada des Varden et même Saphira elle-même
développe une vie intérieure qui ajoute de la profondeur.

En tant qu’adulte, j’ai lut « Brisingr » avec un mélange d’admiration pour les exploits de Paolini et un manque de réponses aux
défauts du livre, qui m’ont empêchés d’être entièrement conquis. Mais c’est difficilement une déception. Si j’avais lut ce roman
à l’age de 13 ans, il m’aurait gardé éveillé toute la nuit. Pour cette raison, j’aurais put en voler des morceaux pour D&D.
Et c’est un compliment.

(Pour remercier Aurora et sa super fic!!
I love you

)

Merci pour la traduc Elea!

Attention, gros spoiler (même si on s'en doutait tous ^^):

Spoiler:

Mouarf, c'était gros comme une maison... Alala, quel manque d'originalité, ce livre ne me surprendra donc jamais T_T ?

Ralala...on se doute de la moitié de ce qu'il se passe, il n'y a même plus de plaisir... En tout cas, pour l'instant, ça me donne pas envie de le lire.

Une chose intéressante toutefois, c'est la manière dont Galbatorix a obtenu autant de puissance, et ce qui fait sa force aujourd'hui. C'est assez éloigné de toutes les théories que j'ai pu lire, que ce soit sur ce forum ou sur d'autres site (même si je suis sur que certain vont dire: "mais si, c'est ce que j'avais dit....mouai...c'est quand meme sensiblement différent, vous allez comprendre:)

Si vous voulez savoir:

Spoiler:

Hmm, j'avais grosso modo pensé à une théorie de ce genre

Spoiler:

En soi ça s'éloigne un tantinet, mais bon, le principe reste le même... Trèèèès surprenant Surprised

....

Quasiment tout le monde savait que Galbatorix se procurait sa force grâce à quelque chose qu'il volait aux dragons, je ne trouve pas cela très original. Je pense que de tout façon la seule chose que l'on est pas deviné avec précision est le nouveau dragonnier - s'il apparaît dans ce tome- et encore, il n'y a pas vraiment le choix, j'espère qu'au moins un évènement ou un personnage va nous surprendre!

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