Ddésolé je ne savais pas trop où le ùmettre, mais je crois quici c'est le mieux quand même.....
une des grandes figures du fantastique et du fantasy, sont bien sûr les dragons. je vais ici vous rédiger quelques textes concernant les dragons sous toutes leures formes, que ce soit dans la mythologie ou dans les livres.
Mais ce serait bien que tout le mopnde y participe, donc si vous avez des textes concernant les dragons, d'où que soit leur origine, n'hésitez pas!
Je vous demanderai seuelement de ne pas postr de commentaires inutiles si vous le voulez bien histoire que ce soit plus clair ^^
Je ferais différentes visions des dragons, suivant différents auteurs on mythologie... Je commencerai par Tolkien !
1. Dragons selon Tolkien
Le Quenta Silmarillion raconte comment, au premier âge du soleil, Morgoth, le noir ennemi, sa cacha dans les souterrains d’Angband et conçut ses chef-d’œuvre maléfiques à l’aide du feu et de la sorcellerie. Les sombres créatures dues à son génie furent les grands vers appelés dragons. Morgoth en conçut trois sortes : ceux qui rampaient, ceux qui marchaient et ceux qui volaient à l’aide d’ailes évoquant celles des chauves-souris. Chaque espèce comportait deux types : les dragons du froid, qui combattaient avec leurs crocs et leurs griffes, et les dragons du feu, les miraculeux urulòki, qui détruisaient leurs ennemis en crachant des flammes. Tous incarnaient les plus grand maux aux hommes, des elfes et des nains ; les pertes qu’ils faisaient subir à ces races étaient impressionnantes.
Les dragons représentaient à eux seuls d’énormes arsenaux aux services de Morgoth. D’une taille et d’une puissance impressionnantes, ces reptiles étaient protégés par des écailles de fer impénétrables. Leurs crocs et leurs ongles étaient comme le javelot et la rapière ; leur queue pouvait écraser les rangées de boucliers de n’importe quelle armée. Les dragons ailés provoquaient des vents violents dans les terres qu’ils survolaient, et les dragons du feu soufflaient des flammes écarlates et vertes, qui léchaient la terre et détruisait tout sur leur passage.
En plus de leurs armes, les dragons possédaient d’autres pouvoirs plus subtils. Leur vue était plus perçante que celle du faucon ; les créatures qu’ils repéraient ne pouvaient pas leur échapper. Leur ouïe leur permettait de surprendre le plus léger souffle, de l’ennemi le plus silencieux, et leur odorat de reconnaître n’importe quelle créature à la moindre émanation de sa chair.
Leur intelligence était renommée, ainsi que leur amour des énigmes, qu’ils aimaient concevoir et résoudre. Les dragons étaient d’antiques serpents, pleins de savoir et d’habileté, mais, pas de sagesse, car leur intelligence était entachée de vanité, de gloutonnerie, d’avidité, de fourberie et de rage.
Étant principalement issus du feu et de la sorcellerie, les dragons fuyaient l’eau et préféraient l’obscurité à la lumière du jour. Leur sang noir constituait un poison mortel, et leurs vapeurs puantes avaient l’odeur du souffre et de la vase. Leur corps luisait en permanence d’une flamme dure semblable à celle des gemmes. Leur rire était plus profond qu’un puits et faisait trembler les montagnes. Les yeux des dragons émettaient des rayons de lumière rubis ou, dans la colère, lançaient des éclairs rouges. Leur voix cruelle de reptile n’émettait qu’un murmure brutal ; l’intensité de leur froid regard de reptile glaçait leurs adversaires imprudents, auxquels ils jetaient un sort, les rendant dépendants de leur volonté implacable.
Les dragons du feuDe toutes les créatures engendrées par morgoth, le noir ennemi, au cours des âges de puissance, les reptiles maléfiques que l’on appelait dragons furent les plus craints. Il en existait de nombreuses espèces, les plus terribles étaient ceux qui vomissaient des flammes, les dragons du fu, qui comptaient parmi les plus puissants des dragons. Glaurung, père des dragons, fut le premier des dragons du feu, ou urulòki, et eut une nombreuse progéniture. Les actes maléfiques de ces dragons dans les royaumes des elfes, des hommes et des nains du premier âge du soleil furent terribles.
Les dragons du froidParmi les dragons que Morgoth fit sortir d’Angband au premier âge du soleil, il existait de nombreuses races. Certains crachaient du feu, d’autres avaient de puissantes ailes ; les plus communs étaient les dragons du froid, qui ne pouvaient ni employer le feu ni voler, mais possédaient des griffes et des crocs puissants, et étaient protégés par une impressionnante armure d’écailles de fer. Les dragons du froid terrorisèrent toutes les races qui s’opposaient à eux au cours de ce premier âge et causèrent de nombreuses destructions dans les territoires de la Terre du Milieu.
Source : Créatures de Tolkien, par David Day (texte remanié par... Moi^^ pour éviter ce qui ne concerne que Tolkien et pas les dragons en général)
2. Les différents dragons : (Tous ne sont pas d'accords avec ce qe je dirai ici, mais c'est dans une vue globale)Les Dragons chromatiques, généralement malfaisantsDans l'ordre croissant de puissance, ils sont :
Dragon blanc, vivant sur les glaciers, soufflant un cône de froid ;
Dragon noir, vivant dans les jungles et les marais, crachant un jet d'acide ;
Dragon vert, vivant dans les forêts, soufflant un nuage de gaz toxique ;
Dragon bleu, vivant dans les déserts, crachant un éclair ;
Dragon rouge, vivant dans les montagnes et les volcans, soufflant du feu.
Dragons Cristallins , indifférements bons ou mauvaisDans l'ordre croissant de puissance, ils sont :
Dragon de saphir, vivant dans les souterrains , soufflant un cône d'énergie sonique ;
Dragon de cristal, vivant dans les montagnes froides et tempérées, soufflant un cône de lumière pure ;
Dragon d'émeraude, vivant, comme le précédent, dans les souterrains, soufflant un cône d'énergie sonique ;
Dragon de topaze, vivant dans les milieux aquatiques, soufflant un cône de déshydratation (faisant évaporer plusieurs centaines de litres d'eau où il souffle, dépendant de son âge) ;
Dragon d'améthyste, vivant dans les souterrains, crachant un trait de force contondante (comparable à un énorme bâton invisible).
Dragons métalliques Ce sont a priori des créatures bénéfiques, bien qu'ils puissent se révéler des créatures dangereuses. Dans l'ordre croissant de puissance, cette famille comprend :
Dragon d'airain, vivant dans les déserts chauds, crachant une ligne de feu ;
Dragon de cuivre, vivant dans les collines chaudes, crachant un trait d'acide ;
Dragon de bronze, vivant dans les collines tempérées, crachant un éclair ;
Dragon d'argent, vivant dans les montagnes tempérées, soufflant un cône de froid ;
Dragon d'or, vivant dans les plaines chaudes, soufflant du feu.
sources : diverses, Donjon et dragons
3. Dans la mythologie nordique et scandinaveSerpent et Dragon
On ne rencontre guère de serpents en Scandinavie. Leur présence dans les légendes nordiques provient certainement d’une mythologie universelle et non d’une présence au quotidien.
Les serpents étaient souvent confondus avec les dragons. Les drakkars « vaisseaux dragons » en symbolisaient la puissance.
Dans la mythologie nordique, le serpent est malfaisant. Il vit sous terre et est associé à la mort. On craint son venin.
Le dragon a une symbolique plus complexe. Il inspire un plus grand effroi que le serpent. Son souffle de feu fait fondre un bouclier et les épées se brisent sur ses écailles.
Lui aussi vit sous terre et n’en sort que la nuit.
Siegfried tue le dragon Fafnir (détail du montant sculpté de la porte de l'église de Hylestad en Norvège)
Dans les mythologies nordiques et germaniques, les dragons jouent le rôle de gardiens de trésor.
Ils sont également dépositaires d’une sagesse ésotérique. Fafnir, qui s’est transformé en dragon, a la réputation de posséder une connaissance infinie.
En buvant accidentellement du sang de dragon, Siegfried a appris à parler le langage des oiseaux.
La mythologie germanique est intensément foisonnante de mythes, de légendes et de prophéties assez sombres, et de croyances profondes qui ont engendré notre civilisation d’Occident sans que nous en soyons conscients, et est de nos jours pratiquement oubliée. Sa vision très noire du monde et des hommes, et sa grande lucidité sur leur devenir, a donné lieu à de très belles légendes et à des épopées fabuleuses à la fois sanglantes et poétiques. Il était naturel qu’on conférât au dragon-serpent une place aussi importante dans la cosmogonie nordique, lui qui symbolise si aisément l’union des contraires et la fascination de l’Inconnu. Evoquer toutes les apparitions et interprétations du mythe serait impossible à réaliser en si peu de pages ; surtout qu’à la différence du dragon chinois, élément essentiel de la tradition et de la pensée chinoise, le dragon scandinave est d’une part moins connu (même si les descendants des Vikings et des anciens Saxons vivent encore, les anciennes croyances germaniques ont presque complètement disparu, et très peu d’écrits demeurent) et d’autre part, il symbolise moins une entité d’esprit qu’une force maléfique.
Car le dragon des Vikings, celui qui ornait la proue des Drakkars partis à la conquête du Monde vaste, n’est pas un philosophe : c’est un monstre, au sens antique et contemporain du terme. Engendré par des créatures mauvaises ou par des éléments hostiles, il déploie sa grande force à faire le Mal et à nuire, encore plus qu’aux hommes, aux dieux qu’il contre sans cesse. En ce sens, il est bien plus proche de la conception chrétienne du reptile sournois et tentateur que de la vision très colorée et philosophique des Asiatiques ; mais il faut se rendre à l’évidence que nous devons à cette mythologie-là plutôt qu’à celle de Confucius. Pourtant, elle nous est à présent si obscure qu’on la connaît bien moins que sa sœur d’Asie. En raison de quoi, il s’avère nécessaire de rappeler quelques principes fondateurs de cette mythologie.
sources : diverses, blog aldaria