L'Antre Ecarlate

Voila voici le texte que je suis en train de composer ( pas encore fini) j aimerais bien conaitres vos avis .(si vous avez des remarques merci de me les envoyr par MP )


L’Antre Ecarlate



Ce matin en me levant je découvris dans ma boîte aux lettres une missive qui , mais je l’ignorais encore, allait être le début d’une formidable aventure dont je n’oublierai jamais l’issue tant elle était extraordinaire et palpitante.

Je décachetai la lettre qui d’après mes connaissances portait le sceau de l’Aube d’Argent, une organisation qui avait pour but d’éradiquer le fléau mort-vivant qui s’abattait sur toute la région des Malterres depuis quelques décennies déjà, et de libérer l’âme tourmentée d’un des plus puissants magiciens que le monde ait connu des griffes de Balnazzar, tête pensante du fléau et seigneur de l’effroi ayant été envoyé sur Azeroth par un puissant démon, pour asservir l’Alliance.

Elle disait ceci :


Noble Paladin Lothgar,

Si je vous écris cette lettre, c’est pour solliciter une addition de vos saints pouvoirs et vos bras solides, aux différents guerriers, mages, démonistes, prêtres voleurs, druides et chasseur, venus de Lorderon et de Kalimdor afin de tenter de monter une expédition punitive contre Balnazzar et son bras droit, le Baron Rivendare qui étendent leur corruption sur toutes les Malterres depuis trop longtemps déjà.

Nous avons conversés, Tyrande prêtresse de la lune, le roi des nains, le seigneur des humains et moi et ils ont été d’accord de mandater l’élite de chacune de leurs nobles races afin de mener a bien la tâche que j ai mentionnée ci-dessus. Ils m’ont bien précisé qu’aucun des Chevaliers auxquels nous faisons appel par le biais de cette lettre n’était forcé de participer mais nous espérons vous compter dans l’expédition.
Voici la liste de l’élite qui pourrait vous accompagner s’ils acceptent.

Rascass : Gnome Voleur / Gururod : Gnome Voleur / Shirina : Elfe prêtre / Zep : Elfe druide / Bers : Nain Guerrier / Karakou : Nain Chasseur / Hogans : Humain Paladin
Onoratha : Gnome Mage /Thör : Gnome Démoniste Ainsi que vous, Lothgar : Nain Paladin.

En espérant que vous vous présenterez a la chapelle de l’espoir de la lumière dans 2 jours, je vous souhaite cordialement une bonne journée et vous dit a bientôt. !!

Que la lumière vous protège

D. Lightbane, Chef de l’Aube D’Argent


J’en restai bouche bée, moi, modeste paladin, dans les élites de l’alliance,… ce n’était pas possible. Je décidai donc de sortir le lendemain pour me promener dans les rues d’Ironforge, capitale du royaume des nains et des gnomes afin de prendre l’air, lorsque je tombai nez à nez avec Rascass mon meilleur compagnon qui avait visiblement dans la main la même lettre que j avais reçue…

- Bonjour. lui dis-je.
- ‘’Slut’’. me renchérit-il d’un air qui n’avait pas l’assurance qui l’habitait ordinairement
- Dis-moi, tu savais toi que nous étions si bons au point d’être dans l’Elite ???
- Non, et de la a ce que notre première mission en son sein très convoité serait de tuer l’un des êtres les plus coriaces qu’Azeroth n’eut jamais connu…, j’étais loin de m’en douter…
- Tu penses qu’on ferait bien d’y aller ?
- Quoi toi, Paladin, Tu deviendrais hésitant ?? Hahaha !! c’est un spectacle qu’il ne m’avait jamais été donné d’apprécier auparavant. Bien sûr qu’on y va, ce n’est pas comme si on ne connaissait personne, tous les membres de l’Elite sont des amis que soit toi soit moi connaissons de longue date.
- Oui mais,…
- Et, me coupa-t-il, n’as-tu jamais entendu parler des magnifiques armes et armures que portent les sbires de Stratholme, dans la cache du Seigneur Balnazzar ?? Imagine comme on serait acclamés en héros si on en revenait avec moult trésors.
Bon. Dirigeons nous chez le maître des Griffons et prenons en un pour la
chapelle de l’espoir de la lumière au plus vite, il ne faut pas perdre de temps
- Sais tu au moins si tous le monde a répondu présent ??
- Oui, maintenant en route, ca serait plutôt mal vu comme premier acte d’être en retard…

Nous enfourchâmes donc nos montures et nous hâtâmes le pas en direction des ennuis… Enfin, après dix minutes de trot dans les rues bondées d’Ironforge, nous atteignîmes le maître des griffons dont le camp se trouvait à la lisière est de la cité. Nous le payâmes avec quelques pièces d’or et nous nous envolâmes ‘’ plein nord ‘’.


Fin de l’Acte 1



Le vent caressait mes joues et mon armure toute en plaques d’arcanite, matériau très résistant né du mélange du Thorium a un cristal très rare, toute givrée, commençait a glacer mes articulations et diriger le griffon sur lequel je me trouvais devenait de plus en plus dur car les plaques se soudaient entre elles sous l’effet du froid, réduisant ainsi mes mouvements. Rascass, qui se trouvait à coté de moi n’éprouvait absolument aucun problème à diriger son griffon, car lui ne portait pas de plaques, mais juste une armure légère en cuir qui lui tenait malgré tout très chaud.
Enfin, après un temps que je crût interminable, nous mîmes enfin pied a terre et fûmes accueillis chaleureusement par les membres de l’Elite, dont nous étions maintenant les collègues qui étaient la depuis hier ainsi que par Lightbane et…Grande fût nôtre surprise lorsque nous aperçûmes les souverains de l’Alliance sortir de la chapelle pour nous saluer

Tout notre groupe ce dirigea donc dans a chapelle affin de prendre un frugal repas composé de quelques fruits secs et de viande de cheval rôtie, et de nous reposer afin d’être frais et dispo le lendemain à 6h00 ou nous partirions pour 2 heures de chevauchée effrénée jusqu'aux portes du donjon de Stratholme, repaire des écarlates du fléau.

Nous fûmes réveillés le lendemain non pas par le son des trompes comme nous nous y attendions mais par un moine qui nous apportât de quoi remplir quelque peu notre estomac. Après avoir équipé nos ensembles d’armures qui étaient plus beaux les uns que les autres et après avoir solennellement juré que nous arriverions a tout prix au but, nous reçûmes la bénédiction des rois. Nous, 10 fiers membres de l’élite sur nos rapides destriers, nous partîmes en 2 groupes en direction de la source du mal.

Arrivés devant les portes, mon groupe composé de Rascass, Bers, Hogans, Gururod et moi, notâmes l’absence du second groupe qui d’après une indication d’un sbire Ecarlate que nous tuâmes en route étaient tombés dans une embuscade tendue par quelques soldats du Fléau. Nous ne nous en inquiétâmes guère, connaissant l’étendue des talents de nos collègues et amis, et nous nous résignâmes à les attendre devant la porte.
Apres quelques minutes d’attente, nous les vîmes arriver et remarquâmes qu’ils n’étaient que légèrement blessés. Les talents de secouriste de Bers et les soins de Shirina eurent vite fait de les guérir de leurs blessures. Nous entrâmes enfin, après avoir défoncé la porte a grand renforts de haches et de flammes, dans l’Infâme Repaire des insurgés, Stratholme.



Fin de L’Acte 2


Nos premières impressions furent très sinistres car nous fûmes accueilli par quelques cadavres qui visiblement étaient des plus vivants, après les avoir renvoyé chez leur créateur, nous décidâmes de rester grouper et de ‘’Nettoyer’’ la partie Ouest du lieu, mais, alors que nous nous frayions un chemin à travers les innombrables goules et autres abominations du genre, nous nous retrouvâmes séparés en 2 groupes par une demi douzaine de nécromancien qui commençaient à invoquer des squelettes du néant afin de nous réduire à notre état primaire, de la poussière.
Mais grâce a l’extraordinaire inventivité d’Onoratha et aux soins très soutenus de Shirina, nous pûmes nous regrouper et n’eûmes que peu de peine a venir à bout des squelettes et de leur ‘’ Maîtres ‘’.
Nous décidâmes de faire une pause dans une alcôve incrustée dans un mur de la forteresse, mais alors que nous nous rassasions et buvions en vue des combats qui allaient suivre, une voix retentit au loin devant nous de sorte qu’on ne pouvait en distinguer l’orateur, une voix glaciale, hypnotique et antipathique : << Pauvres fous, pensez-vous donc que vous parviendrez à atteindre mon seigneur et maître ?? Pour ce faire, il faudra me passer sur le corps...>>
Je surpris un regard de stupeur dans les yeux de Zep qui nous prévint tout de suite :
- Faites très attention, cette voix appartient à Nerub’Ekan, c’est un Seigneur des cryptes très puissant qui est capable de prendre une forme arachnéenne, il nous faudra compter sur nos épées pour lui couper les pattes et l’achever grâce à la magie !!
- Comment le sais-tu ? Le questionna Thör.
- Ca serait trop long a expliquer disons que... j ai eu un bon enseignement auprès d’un bon maître

voici la suite (mais pas encore la fin)

Shirina notre prêtre nous prononça à tous une bénédiction en vue du combat à venir et nous nous plaçâmes en posture de combat. Les quelques minutes de progressions lente et minutieuses à travers les ruelles étroites du repaire étaient un vrai supplice. Mais nous finîmes par tomber sur le possesseur de cette voix et engageâmes le combat.
Il fut très difficile mais grâce a Rascass, Gururod et a Bers qui s’étaient empressés de séparer ses pattes du reste de son corps nous pûmes alors l’attaquer sans craindre de représailles et l’honneur me fut donné, grâce a Ashan’Kir, mon épée de lui porter le coup qui le ramènerait à jamais dans le monde des esprits.
Nous étions tous exténués et même le magnifique heaume que laissa derrière lui Nerub’Ekan, qui entra en possession de Hogans ne suffit à raviver notre hargne de continuer et de défaire toute menace.
Nous décidâmes donc à l’unanimité de nous arrêter la pour aujourd’hui et de dormir.
Les elfes, éprouvant moins le besoin de dormir que nous autres, décidèrent donc de monter la garde.

Ils nous réveillèrent aux alentours de l’aube et nous fûmes emplis d’une joie presque sincère lorsque nous vîmes dans le ciel rouge du sang de nos ennemis, une chouette grise qui était le symbole elfique du courage.

Nous nous remîmes lentement en marche et aperçûmes au loin, ce qui devait être l’entré de la salle ou résidait le mal lui-même. Mais nous en étions encore loin et après avoir expié quelques âmes errantes nous atteignîmes l’immense cour dans laquelle siégeait Rivendare et dont nous devions afin de prouver sa mort, rapporter sa tête et sa lame runique à D. Lightbane.

Notre première idée fut de se débarrasser de ses sbires affin de rendre le combat plus facile. Nous y parvinrent grâce aux ingénieuses distractions de nos voleurs qui réussirent à amener par petit groupes les diverses horreurs qui peuplaient la cour hors de celle-ci et à les conduire droit dans le piège tendu par le serviteur éthéré de Thör qui les bannit à jamais d’Azeroth, et aux tirs de Karakou et aux griffes de son familier qui infligèrent d’énormes pertes dans les rangs ennemis.

Une erreur de la part de nos voleurs lors de l’embuscade destinée à en finir avec le seul groupe de mages démoniaques qui nous séparaient encore du Baron coutèrent la vie à Karakou. Après avoir trucidés, éviscérés et démembré les auteurs de cet impitoyable crime et nous être lamentés devant son corps à priori inerte, nous crûmes que nous allions le tuer lorsqu’il se leva en rigolant et en nous annonçant qu’il avait simulé la mort car il ne voulait pas être blessé lors du combat. Nous estimâmes que c’était une bonne blague et que nous y avions bien crû mais décidâmes de ne pas nous attarder sur le sujet estimant qu’il ne pouvait que créer de la discorde au sein d’un groupe soudé, et nous fîmes maintenant face au Baron Rivendare .

Notre chasseur lui porta le premier coup à distance grâce à son fusil et le baron nous chargea tout de suite afin de nous rendre la politesse.
Bers décida d’attirer l’attention du baron afin que Hogans et moi puissions commencer l’invocation de la lumière divine qui allait l’achever lorsque sa vie serait déjà bien entamée. Shirina fût très sollicitée lors de cet affrontement et nous échappâmes a la mort de justesse grâce à notre sort, à Hogans et moi qui lui rongea si puissamment les chairs qu’il ne fût plus en position de faire un mouvement. Nous décidâmes donc de le faire mourir dans d’atroces souffrances, donc d’attendre qu’il meure de la boule de feu de notre démoniste qui le lacérait depuis l’intérieur. Nous ne pûmes contenir notre joie lorsque nous nous emparâmes de sa lame runique que nous confiâmes à Gururod et de son magnifique destrier démonique qui fût dès ce jour la propriété d’Onoratha.
Gururod, tout content de sa nouvelle lame, décida de l’utiliser pour achever les souffrances du Baron, afin d’apporter la preuve de sa mort et de l’envoyer rejoindre Nerub’Ekan

Après avoir fêté cette victoire du meilleure que nous le pûmes, nous mangeâmes un peu de viande autour d’un feu et nous décidâmes Hogans et moi de prononcer une très vieille bénédiction en langage sacré que nous avions appris lors de notre formation spirituelle, que l’on utilisait que pour les grandes occasions( et nous jugeâmes que s’en était une) et qui disait un peu près ces mots :

<< Ekà aì fricaï uz shûndâvar freöhr slküllkàbá wÿrdâ oz brïnsgr ekà >>

Ce qui voulait dire littéralement :Que la lumière porte tes pas et garde ta lame !
Nos compagnons nous regardèrent avec de gros yeux ébahis car entendre cette langue ancienne, même qu’on en ignorât complètement le sens de ses paroles, faisait froid dans le dos tellement elle était envoûtante. Après ‘’ les histoires au coin du feu ‘’ nous tombâmes presque tous dans le sommeil à cause de la fatigue, mais, juste avant qu’Hogans, Onoratha et moi, seuls survivants de l’embuscade tendue par nos sacs de couchage étalés sur le sol, ne succombâmes à notre tour, nous eûmes juste le temps de dresser une barrière magique afin de nous protéger pour la nuit



Fin de l’Acte 3
Le lendemain, nous ne fûmes point réveillés comme la veille par le vol d’un rapace, mais bien par une bonne centaine de squelettes tentant, en la cognant, de faire céder notre protection. Heureusement nôtre maître nous avait bien enseignés et notre bouclier tint bon. Nous nous plaçâmes donc tous en cercle, les lanceurs de sorts protégés au milieu, regardant vers l’envahisseur. Puis, après avoir perçus de brefs signes de tête signifiant que nos compagnons étaient prêts, nous levâmes notre dôme de protection et engageâmes le combat contre les insurgés.

Le combat était très difficile étant donné que nos sorts étaient inefficaces contre eux et qu’ils esquivaient ou paraient presque tout nos coups. Voyant cela, et ayant étés blessés maintes fois, nous comprime que s’en était fini de nous, nous qui avions combattu si courageusement, nos ressources étaient épuisées et nos esprits commençaient déjà à quitter nos corps dans un imperceptible tourbillon, mais ils furent arrêtés net dans leurs ascensions car Shirina, dans un ultime acte de bravoure, consacra le sol alentour, provoquant ainsi la mort de presque tous les squelettes présents. Cela nous redonna espoir et nous combattîmes soudain avec la ferme intention de nous en sortir vivant et d’empêcher nos âmes de nous quitter.
Mais, le nécromancien Nightwisper, seul survivant du massacre, s’enfuit en direction de l’extérieur. Nous commençâmes presque tous instantanément à le poursuivre mais nous fûmes arrêtés par Karakou qui abordait un sourire joyeux et nous fit signe de nous arrêter. Nous lui obéîmes, nous doutant bien qu’il avait quelque chose derrière la tête. En effet, une poignée de secondes plus tard, Nightwisper s’immobilisa, le pied pris dans un piège de trappeur.
Nous fûmes soudain rempli d’une joie démesurée et nous tournâmes tous vers celui qui avait magnifiquement ‘’ orchestré ‘’ ce guet-apens. Celui-ci s’expliqua alors :
- J’ai placé ce piège hier juste après notre combat contre le Baron au cas où nous aurions un problème… J’ai bien fait visiblement…
- Ca alors, oui, tu es très ingénieux. Ton mentor ferait fortune si faisait payer ses conseils ! lui répondit Rascass. Qui visiblement était étonné de ce magnifique geste.
- Il est mort... Dit-il simplement
- Je suis désolé…
- Non, tu n’as pas à être désolé, je suis certain qu’il serait très honoré d’être dans l’estime de quelqu'un d’aussi puissant que toi !
- Arrête je vais rougir, je ne suis pas plus fort que Gururod ! C’est lui qu’il faut féliciter, et...
- Rascass cesse s’il te plaît. Lui répondit ce dernier visiblement lassé de ce ridicule différent.
Il s’apprêta à répondre mais fût interrompu par Bers qui lui rappela que nous devions encore alléger de quelques membres le corps du nécromancien responsable de toutes nos souffrances. Nous marchâmes donc lentement, sans nous presser, savourant notre victoire. Arrivés devant lui, les seules paroles qu’il prononça avant que Hogans ne le décapitât d’un coup du magnifique bouclier aux bords tranchants qu’il avait reçu du père d’une naine qu’il avait sauvé de la noyade furent celles-ci : << Ma mort ne vous avancera en rien, déments. Vous n’approcherez même pas de mon maître que vous serez déjà morts… >> Sur ce il décéda, sa tête roulant sur les pavés de Stratholme.
En fouillant les nombreuses poches de son ‘’ manteau ‘’, nous trouvâmes une grande clé en argent qui d’après Thör, qui s empara également de la baguette ténébreuse du feu nécromancien, servait à l’ouverture de la porte du maître des lieux.
Nous ramassâmes également son bâton gravé de runes diverses, qui fût destiné, après de nombreuses discussions à Zep.

Nous passâmes la plus grande partie de la matinée et une partie de l’après midi à panser nos blessures et étant tous fatigués nous nous reposâmes et ne reprîmes notre progression que peux de temps avant le crépuscule.

Après une bonne heure de progression laborieuse à travers les cadavres de goules et de squelettes que nous avions fraîchement découpés, ce qui avait coloré nos armes d’un rouge vif luisant à la lumière de l’aube lunaire, nous approchâmes enfin de ce qui allait être non l’espoir, mais bien le désespoir : La porte d’entrée de la ‘’ maison ‘’ du plus grand seigneur du mal qu’Azeroth n’ait jamais connu. Rascass inséra la clé dans la serrure et nous dûmes tous mobiliser notre force afin d’en entrouvrir les battants.



Fin de L’Acte 4

Nous nous faufilâmes par l’entrebâillement et nous nous retrouvâmes dans une salle si grande que nous pensions au début que seuls des titans eurent pu la construire.
Elle devait faire une centaine de mètres de long, une vingtaine de large et quelques
30 mètres de haut. En somme, elle était Titanesque. Une silhouette visiblement humaine se dressait en son fond mais aucun de nous ne parvint à l’identifier.

Nous avançâmes donc prudemment vers le centre de la salle et là nous fûmes surpris par le son de 2 grilles qui tombèrent de part et d’autre de notre position, nous bloquant ainsi au milieu de l’allée.
Instinctivement, nous nous préparâmes au combat et nous eûmes bien fait car 2 grilles latérales s’ouvrirent pour faire entrer un groupe de gargouilles volantes qui n’avaient pas l’air très commodes. Nous n’eûmes aucun problème à les vaincre car, grâce aux filets de notre chasseur, nous pûmes les ramener au sol et en finir avec eux en quelques coups d’épée. Nous mîmes un certain temps, après avoir dépouillé leur cadavres qui n’avaient rien d’intéressant, à remarquer que dans la grille il y avait une porte et qu’il suffisait de l’ouvrir pour sortir…
Nous avions envisagé toutes les possibilités sans efficacité : faire exploser, fondre ou encore scier les barreaux avant qu’Hogans ne nous fit remarquer qu’il y avait une ouverture.